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QUI SUIS JE?
Les sages se posent souvent cette question pour se conna^itre, mais pour trouver la r'eponse `a cette question, ils vivent une vie solitaire pendant de nombreuses ann'ees et renoncent compl`etement au monde. Je ne pense pas qu'il faille le r'ep'eter, et je suis convaincu que la r'eponse est `a l'int'erieur, elle sera certainement trouv'ee. Mais il faut chercher `a la fois ext'erieurement et int'erieurement, mais, tout d'abord, la r'eponse `a cette question m'a 'et'e donn'ee par intuition (la partie inconsciente de la conscience), car je lui posais cette question tout le temps. Je ne voulais pas entendre de telles r'eponses : « Je ne m'erite pas d'^etre heureux », « Mes actes dans cette vie sont termin'es », « J'ai perdu et je ne serai jamais gu'eri », et j'ai recu la r'eponse que le Cr'eateur voulu et j'en suis infiniment s^ur :
La paix, la mis'ericorde et la b'en'ediction de Dieu soient avec vous. Laissez-moi commencer par le nom de Dieu ! Et permettez-moi de me pr'esenter.
Je m'appelle Narsha, je suis Kazakh ! Mon m'etier est un g'en'eraliste amoureux des praticiens (je me suis invent'e un tel m'etier), je n'ai pas d'enseignement sup'erieur, mais j'ai 'etudi'e dans les m'etiers de "psychologie" et de "philosophie". Mais j'ai d^u quitter l'universit'e non pas parce que je ne voulais pas 'etudier, mais parce que j'avais une « maladie grave ». Je combats une maladie tr`es n'egative et d'esagr'eable depuis 5 ans, et je suis tr`es confiant que je gagnerai ce combat. Parce qu'il n'y a pas de maladie incurable. La maladie et son rem`ede ont 'et'e cr'e'es. C'est mon premier livre que j''ecris en francais, j'esp`ere que vous traiterez avec compr'ehension, puisque le francais n'est pas ma langue de pens'ee, ma langue de pens'ee est le kazakh et je dirai tout de suite que le livre est exp'erimental, la principale chose que je veux pour v'erifier `a quel point les gens sont int'eressants avec mes pens'ees et mon orthographe, je le corrigerai `a l'avenir, si n'ecessaire.
A propos de "maladie grave"
Maman a fait un mauvais r^eve, puis je suis tomb'ee tr`es malade quelques jours plus tard, puis la vie a radicalement chang'e et on m'a diagnostiqu'e une "mauvaise maladie" (c''etait en 2017), puis j'ai commenc'e `a tra^iner avec les m'edecins, ils n'ont aucune piti'e et gentillesse, et puis je commence `a me d'esint'eresser de tout. J'ai d'em'enag'e plusieurs fois d'un endroit `a l'autre et j'ai rencontr'e de nombreuses difficult'es. J'ai compl`etement oubli'e les divertissements, qu'ils existent dans la vie. Mais pendant cinq ans, je n'ai pas seulement regard'e le ciel. Malgr'e tous ces moments difficiles (stress, d'epression, agressivit'e), j'ai compris le plus important : les m'edecins ne m'aideront pas et personne ne peut m'aider maintenant.
Je m'en fichais, il n'y avait rien `a perdre. Peut-^etre qu'il me reste encore un peu de vie et que je voulais consacrer le reste de ma vie `a mes proches afin de les rendre heureux, de les rendre joyeux, mais cela ne s'est pas produit, je ne pouvais pas donner aux autres un sentiment de bonheur, mes parents sont devenus encore pires. Mais ensuite j'ai r'ealis'e la chose la plus importante : premi`erement, je ne peux pas rendre les autres heureux sans me rendre moi-m^eme heureux. Au d'ebut, je ne me sentais pas heureux et j'ai r'ealis'e que dans un tel 'etat, personne n'avait besoin de moi. Deuxi`emement, j'ai r'ealis'e que je ne pouvais rien faire d'utile et de bien pour les autres sans me faire plaisir et vaincre la maladie par moi-m^eme. En g'en'eral, comme vous l'avez remarqu'e, si une personne est « mauvaise » ou « malade », personne n'a besoin de lui.
Je voulais en savoir plus sur les types de maladies et la m'edecine g'en'erale. Il est devenu clair pour moi qu'il faut du temps et beaucoup de travail pour combattre la maladie, avant cela je ne pouvais pas r'esoudre le probl`eme du temps et de la motivation pour ce travail, le probl`eme de la foi et de l'esp'erance, le probl`eme de l'action. C'est-`a-dire que je dois d'ecider quoi faire ensuite.
Dans les premi`eres ann'ees, ce n''etait pas facile pour moi de m'adapter, mais ensuite j'ai appris, ma^itris'e les tactiques et les m'ethodes de lutte afin de me changer et par la volont'e de Dieu je l'ai fait. Mais bien s^ur j'ai encore du mal… En g'en'eral, mon r^eve principal 'etait d'avoir le temps d''ecrire un livre.
Je me souviens de mon enfance, mon p`ere me disait : chaque jour tu 'ecris un journal intime, et puis dans 20-30 ans il deviendra un livre et tu auras ton propre livre de vie. Je lui ai dit : « Les anges 'ecrivent sur les deux 'epaules, pourquoi devrais-je prendre un bain de vapeur ? Mais alors je n'avais que douze ans, parfois je regrette de ne pas avoir 'ecout'e mon p`ere `a ce moment-l`a, bien que ces mots m'aient fait r'efl'echir.
Au d'ebut, il y avait de telles pens'ees « Je peux trouver quelque chose d'encore plus utile que ce m'etier », « N'est-ce pas inutile ? ». Il y avait des pens'ees comme « je ne peux pas », « je ne me sens pas bien ». Puis j'ai pens'e: "Peut-^etre que c'est amusant, la chose la plus importante ne fait pas de mal." Mais j'ai beaucoup cherch'e, j'ai trouv'e toutes ces connaissances et j'ai quand m^eme 'ecrit un livre avec ma terrible langue francais pour laquelle je m'excuse dans un premier temps. Mais j'esp`ere que vous comprenez le sens et l'essence de mes pens'ees.
Un an apr`es ma maladie, j'ai commenc'e `a 'ecrire un livre, et m^eme avant de tomber malade, j'avais un journal intime, mais pour combattre la maladie j'avais besoin de quelque chose de s'erieux – 'ecrire un livre et ne pas me tromper, ne pas m'amuser, « J'ai d'ecid'e d''ecrire un vrai livre, pour m'aider, je vais m'aider, ca veut dire que j'aiderai les autres, au moins je d'erangerai moins mes proches ». C''etait ma premi`ere d'eclaration volontaire (consciente).
La v'erit'e, apr`es tout, qui cherche `a s'amuser, rencontrera des probl`emes, qui cherche des affaires, la richesse se rencontrera. Comment aimez-vous cela? Ou pensez-vous l'avoir copi'e `a partir d'Internet ? 'Ecrire un livre est aussi un travail, il faut pouvoir le percevoir ainsi.
En g'en'eral, dans toute ma vie (j'ai 23 ans), j'ai recu des conseils, de l'inspiration et de la motivation de centaines de personnes et de livres, simplement chez moi. Je pense donc que ce livre sera utile `a quelqu'un, car j'ai encore de l'exp'erience sur la facon de rendre une personne heureuse. D'autres peuvent penser diff'eremment parce que chacun a un niveau de conscience diff'erent.
De nombreux cours audio/vid'eo en ligne (lecons) et livres m'ont fait une grande impression. Eux-m^emes composent, pensent et 'ecrivent, parlent. Je me souviens encore comment mes parents et moi avons 'ecout'e, lu et discut'e de leurs id'ees. Nous avons 'et'e 'etonn'es de ce que nous avons entendu et de ce que nous avons lu. On peut dire que les livres et les cours audio/vid'eo nous ont r'ev'el'e les principaux secrets de l'univers.
En g'en'eral, je pense que toutes les connaissances utiles acquises resteront `a jamais dans ma m'emoire, m^eme si je vous conseille de les r'ep'eter plus souvent, sinon l'effet dispara^itra. Gr^ace `a tout cela, j'ai d'evelopp'e une facon de penser qui m'aide `a ^etre une personne heureuse malgr'e ma condition et je pense qu'elle vous aidera aussi.
Pourquoi as-tu disparu ?
La personne invisible est soit un mort, soit un 'etranger. Beaucoup ont pu oublier que j''etais encore en vie, car pendant un certain temps, ils n'ont pas vu mon visage. Mais je n'avais aucune intention de communiquer avec les autres. Tous mes amis m'ont demand'e : "Pourquoi as-tu disparu ? Tu es mort ?" Les amis ne m'ont pas fui, je ne voulais simplement pas communiquer avec qui que ce soit, parce que je pensais : ce que les autres peuvent me donner en plus des conseils et du soutien comme "Tout ira bien", etc., dans ce cas j'avais `a regarder `a l'int'erieur. O`u est-ce que je me suis tromp'e? Quand est-ce que je me suis tromp'e ? comment ceci m'est arriv'e? O`u puis-je trouver les r'eponses `a toutes mes questions ? C'est tout de m^eme, j'ai commenc'e `a lutter avec moi-m^eme avec des questions.
En g'en'eral, mon objectif principal lorsque j''ecris un livre est de m'assurer que personne ne peut r'ep'eter mes erreurs. Les erreurs que j'ai commises, et que la plupart des gens font encore, sont que nous ne nous acceptons pas correctement nous-m^emes, l'environnement et Dieu ; ne pense pas correctement (ou ne pense pas du tout); nous n'agissons pas correctement (c'est-`a-dire que nous faisons les mauvaises actions) ; ne pas faire le bon choix et prendre des d'ecisions ; ne se g`ere pas correctement (incapable de se contr^oler) et incapable de se comporter de la bonne mani`ere (confusion et confusion).