Contes oss?tes en fran?ais
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– “Mes amis ont ete dechires et devores par un loup, je suis le seul a en avoir rechappe.”
– “Dis-moi, ou, sur quelle route tout cela s'est-il passe?”, – a demande Gazza.
La chevre lui dit ou se trouve le loup.
Gazza prit son fusil et se depecha de partir.
Mais le loup est reste couche, incapable de se relever, regardant d'en bas, observant. Gazza ne peut pas encore le voir car le loup est etendu sur le bord de la route.
Arrive a l'endroit indique par la chevre, Gazza a regarde autour de lui. Il etait sur que le loup etait quelque part pres de lui.
Quand il vit Gazza s'approcher de lui, le loup essaya de courir, mais il ne pouvait pas courir vite, accable par l'epuisement. Pendant ce temps, Gazza le remarqua et commenca a le rattraper. Difficile de rattraper un loup rassasie! Gazza le rattrapa rapidement, lui tira dessus avec son fusil et le tua.
Gazza est rentre chez lui. Il se retrouva avec une chevre a sept ventres et d'autres chevres sauvees. Il commenca a vivre heureux jusqu'a aujourd'hui.
Un cerf, un ours et deux herissons
Il etait une fois deux herissons. Ils vivaient dans la foret, dans un arbre creux.
Un jour, un bucheron alla dans la foret et coupa l'arbre creux. Il le ramena a la maison et le coupa en gros morceaux pour qu'il soit plus facile a chauffer. La femme du bucheron prit quelques buches et chauffa le poele. Elle voulait preparer un repas pour son mari affame.
Les herissons sentirent la chaleur et prierent Dieu:
– “O Dieu, sauve-nous, et nous te rendrons grace avec des ahsarfambalams provenant des poumons du cerf et du miel sur la poitrine de l'ours!”
Les herissons degagent une odeur nauseabonde.
– “Qu'est-ce que c'est que ce bois!” – a dit la maitresse en jetant le bois hors du poele.
Les herissons avaient peur de s'enfuir pendant la journee, alors ils se cachaient, et la nuit ils sortaient du village. Le matin, ils etaient deja dans la steppe et ils deciderent que l'un d'entre eux s'installerait sur un monticule, et le second sur un autre, eloigne du premier.
C'est ce qu'ils ont fait. Chacun se tapit sur son propre monticule. Pendant ce temps, un cerf s'approcha du premier herisson. Le herisson lui parla et lui proposa un pari:
– “Faisons la course les uns contre les autres”, – il a dit. “A cette condition: celui d'entre nous qui atteindra le premier le prochain monticule pourra abattre et manger celui qui aura pris du retard.”
Et il montra au cerf le monticule sur lequel etait assis le deuxieme herisson.
Le cerf se dit alors: “Comment ce herisson peut-il me depasser?” Il accepta.
Ils se mirent en rang et dirent: “Courons!” et ils se mirent a courir. Le cerf s'elanca de toutes ses forces et le herisson se cacha dans la haie.
Lorsque le cerf atteignit le monticule, le herisson lui dit:
– “Ou as-tu disparu? Je t'attends deja!”
Le cerf etait tres surpris:
– “Reprenons la course!” a demande le herisson.
– “Tres bien”, – a dit le herisson. “Retournons au monticule en courant!”
Le cerf se mit a courir, et le deuxieme herisson se glissa lui aussi dans le buisson et se cacha. Le cerf courut aussi vite qu'il le put, mais lorsqu'il atteignit le monticule, il fut surpris d'y voir le herisson.
– “Pourquoi es-tu si en retard?” – le herisson lui a dit. “Je suis ici depuis longtemps!”
Le cerf perdit le pari et les herissons le massacrerent. Ils cacherent la carcasse du cerf et allerent dans la foret pour chercher du miel. Ils trouverent du miel dans un arbre creux et haut, sortirent le nid d'abeille et s'assirent dans l'arbre.
Pendant ce temps, un ours passait par la. Lorsqu'il vit les herissons, ils avaient deja mange le miel.
– “Donne-moi aussi du miel!” – a demande l'ours.
Ils lui ont repondu:
– “Fais-le toi-meme!”
– “Montre-moi ou est le miel!” – leur a dit l'ours.
– “La, tu vois, dans l'arbre, les abeilles volent la.” L'ours grimpa dans l'arbre, prit du nid d'abeilles et demanda aux herissons:
– “Comment les faire descendre?”
– “Allonge-toi sur le dos et place le nid d'abeilles sur ta poitrine, de maniere a pouvoir le ramener au sol.”
L'ours suivit le conseil des herissons. Il se coucha sur le dos, s'envola du haut de l'arbre et s'ecrasa mortellement.
Les herissons ont abattu l'ours; ils ont aussi apporte la carcasse d'un cerf. Ils firent des ahsarfambals avec les poumons du cerf, empilerent le miel sur la poitrine de l'ours et prierent le Dieu:
– “O Dieu, nous te remercions! Tu nous as sauves et nous t'avons donne notre parole: nous te remercions avec du miel sur la poitrine de l'ours et des ahsarfambals faits de poumons du cerf!”
Fils de la veuve
Il etait une fois une sorciere et Verahan la belle, la fille d'un aldar, un reclus de la tour. C'etait une fille exceptionnellement mince. La rumeur se repandit dans le monde entier. L'aldar ne la donna a personne, bien que de nombreuses personnes aient essaye de l'epouser. Il la garda dans une tour, et cette tour etait telle que personne ne pouvait en trouver les portes sans en detruire le sommet.
Un jour, l'aldar annonca:
– “Je ne marierai ma fille qu'a l'homme qui peut detruire sa tour.”
Et la tour etait exceptionnellement haute. L'aldar a donne un delai de deux jours:
– “Celui qui parviendra a detruire la tour deviendra mon gendre”, – il a dit. “Que chacun tente sa chance!”
Les pretendants commencerent a affluer de toutes parts. Il y avait des pretendants du peuple Nart. Le fils de la sorciere se presenta egalement. Tous voulaient detruire la tour de la fille de l'aldar, mais aucun des pretendants ne trouvait le moyen de le faire.