Французский шутя / Le francais en s'amusant
Шрифт:
«Non, je n’ai pas remarqu'e, fils. En fait j’avais juste pens'e que je devenais sourd.
Dans un grand magasin, une femme perd son sac `a main, dans la cohue de ce premier jour de Soldes….
Rentr'ee `a la maison et d'esesp'er'ee, l’on sonne `a la porte. Un jeune homme appara^it, son sac `a main sous le bras!
«Je r^eve! Il y a donc encore des gens honn^etes en ce monde! Merci, Merci beaucoup!»
Devant lui, elle l’ouvre; tout y est! Cependant, en ouvrant son porte-feuille… son billet de 50 euros a disparu, mais il s’y trouve: deux billets de 10, un de 20 et deux de 5 euros…
N’y comprenant rien du tout, elle demande au jeune homme:
Au jeune de r'etorquer:
«L’autre fois, j’avais ramen'e un sac `a main `a une personne qui m’a remerci'e sans me r'ecompenser. Elle n’avait pas de monnaie…»
C’est une nouvelle h^otesse blonde qui accompagne l’'equipage sur un vol courrier. Lors de l’escale, le commandant montre `a la blonde o`u manger et dans quel h^otel dormir. Le lendemain l’'equipage doit repartir. Tout le monde est `a l’a'eroport, sauf la nouvelle h^otesse. Le commandant qui s’inqui`ete appelle `a l’h^otel et demande `a lui parler. Elle d'ecroche le t'el'ephone, et en sanglotant, explique qu’il lui est impossible de sortir de sa chambre.
– Et pourquoi ca? Demande le commandant.
– Et bien, c’est parce qu’il y a seulement trois portes ici. L’une est la porte de la salle de bain, la seconde celle des toilettes et sur la troisi`eme il y a une pancarte «Ne pas d'eranger!»
Une blonde rentre le soir de la maternelle chez sa m`ere.
– Aujourd’hui on a appris `a compter et les autres filles, elles arrivent seulement jusqu’`a 3 mais moi, regarde: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10, c’est bien, hein maman, c’est parce que je suis blonde tu crois?
– Mais oui ma fille, mais oui.
Le lendemain:
– Maman, aujourd’hui on a appris l’alphabet; les autres filles, elles arrivent `a la lettre ‘e’ et moi bien: a b c d e f g h. C’est bien Maman hein, c’est parce que je suis blonde?
– Mais bien s^ur.
Le surlendemain, la blondinette rentre de la piscine:
–Maman, maman, les filles de la classe, elles ont toutes une toute petite poitrine et moi bien tu sais comment je suis faite… (et elle exhibe son superbe 38c). C’est parce que je suis blonde, maman, hein?
–Ah non, ca c’est parce que tu as 18 ans.
Un homme est tranquillement assis et regarde la t'el'evision. Tout `a coup, sa femme arrive par derri`ere et lui donne un coup sur la t^ete avec une casserole.
–Pourquoi tu me frappes, demande-t-il…
–En lavant tes pantalons tout `a l’heure, j’ai trouv'e un bout de papier avec 'ecrit dessus Marie…
–Oh! C’est parce que la semaine derni`ere je suis all'e aux courses de chevaux et le cheval, sur lequel j’ai gagn'e, s’appelait Marie… Je voulais me souvenir du nom…
La femme semble satisfaite et s’excuse.
Trois jours plus tard, l’homme regarde la t'el'evision et sa femme le frappe encore sur la t^ete par derri`ere `a l’aide d’une casserole.
– Mais qu’est-ce qui te prend?
– Ton cheval a t'el'ephon'e!
Une jeune fille revient tristement d’un souper en amoureux avec son petit ami. Elle va chez sa m`ere pour lui parler de ses malheurs.
«Tu as l’air bien triste,» demande sa m`ere,
«Pierre m’a demand'e en mariage il y a `a peine une heure.»
«Mais, je croyais que tu l’aimais, c’est merveilleux, non?»
«Tu ne comprends pas, maman! Il est ath'ee!»
«Je ne vois pas o`u est le probl`eme. Ca ne t’emp^eche pas d’avoir tes propres croyances.»
«Mais… c’est absurde! Il ne croit m^eme pas que le ciel et l’enfer existent!» La m`ere regarde sa fille avec un sourire en coin.
«Ne t’en fais pas. Pour le ciel, il verra lorsqu’il sera mort et pour l’enfer, nous allons nous charger toutes les deux de lui prouver qu’il existe!»
Deux femmes ag'ees, toutes deux veuves, passent ensemble un mois de vacances sur la c^ote d’Azur. Tous les apr`es-midi, elles passent de longues heures sur le bord de la piscine de l’hotel pour se bronzer. En realit'e, elles cherchent `a faire des rencontres… Depuis cinq ou six jours, elles ont notamment rep'er'e un client de l’'etablissement qui, comme elles, consacre tous ses apr`es-midi `a se delasser pr`es de la piscine. L’homme, apparemment seul, n’est plus de la toute premi`ere jeunesse mais il a fi`ere allure. Un jour, l’une des deux femmes se d'ecide `a aborder le personnage et s’approchant de sa table, pr`es de la piscine, lui demande: «Excusez-moi de vous d'eranger, mais nous nous demandions, mon amie et moi, pourquoi vous avez l’air si d'eprim'e tous les jours. Vous semblez si solitaire?»
«Madame, c’est difficile de se r'eadapter `a la libert'e», r'epond l’homme. «Je viens de passer vingt ans de ma vie en prison…»
«Sans blague, et pourquoi?» demande la dame.
«J’ai 'et'e accus'e d’avoir etrangl'e ma troisi`eme femme.»
«Ah bon? Et votre seconde 'epouse?» demande la dame par curiosit'e.
«On m’a condamn'e pour lui avoir tir'e huit coups de fusil dans le coeur.»
«Dites donc… Et, si je peux me permettre, qu’est-il arriv'e `a votre premi`ere femme?»
«Elle est accidentellement tomb'e d’un immeuble de trente 'etages…»
La dame se retourne alors en direction de son amie rest'ee de l’autre c^ot'e de la piscine, et avec un grand sourire, elle lui crie: «Marie, Marie, il est c'elibataire!»
Pendant la r'ep'etition du mariage, le futur mari'e prend monsieur le cur'e `a part, et lui dit `a l’oreille:
– Ecoutez monsieur le cur'e, voici un billet de 500 francs. En 'echange, je voudrais que vous modifiez un peu le sch'ema classique de la c'er'emonie…