Французский шутя / Le francais en s'amusant
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En particulier, je voudrais que quand vous vous adresserez `a moi, vous laissiez tomber la partie o`u je dois promettre «d’aimer, honorer et respecter mon 'epouse, renoncer aux autres femmes et lui ^etre fid`ele comme jamais».
Le cur'e prend le billet sans mot dire, et le futur mari'e s’en va satisfait et confiant.
Le jour du mariage, le moment fatidique de la promesse approche.
Le cur'e se tourne vers le mari'e et lui dit en le regardant droit dans les yeux:
– Promets-tu de te prosterner devant elle, d’ob'eir `a chacun de ses ordres, de lui apporter le petit d'ejeuner au lit tous les matins, et de jurer devant Dieu et ta femme exceptionnelle que jamais au grand jamais, tu ne regarderas une autre femme?
Le jeune gars ravale sa salive [16] , rougit, regarde autour de lui avec angoisse et r'epond d’une voix `a peine perceptible [17] :
– Oui je le veux.
…Puis le jeune mari'e se penche vers le cur'e et lui siffle:
– Je pensais qu’on avait fait un march'e!
Alors le cur'e lui met son billet de 500 dans la poche et murmure `a son oreille:
– Elle m’a fait une meilleure offre.
16
ravale sa salive –
17
`a peine perceptible – едва слышный
Un groupe de jeunes femmes arrive sur le lieu de leurs vacances…
Elles se mettent `a la recherche d’un h^otel et tr`es vite en trouvent un `a cinq 'etages avec un panneau qui indique «Exclusivement pour les femmes».
Elles d'ecident d’entrer.
Le gars de la r'eception leur fait la visite 'etage par 'etage…
Au premier 'etage, un panneau indique «Ici les hommes font tr`es mal l’amour, mais sont tr`es agr'eables, gentils et sensibles».
Les filles se tordent de rire [18] et sans s’attarder montent au deuxi`eme.
18
se tordent de rire – умирают от смеха
Le panneau du deuxi`eme 'etage indique «Ici les hommes font merveilleusement bien l’amour, mais g'en'eralement traitent tr`es durement les femmes».
Cela ne leur parait pas acceptable, elles continuent `a monter…
Troisi`eme 'etage, le panneau indique «Ici tous les hommes sont d’excellents amants et ils sont sensibles aux d'esirs et ils ont besoin de femmes».
Cela parait id'eal mais il reste encore deux 'etages…
Elles continuent l’ascension…
Au quatri`eme 'etage, le panneau est surprenant «Ici les hommes ont des corps d’Appolon, sont sensibles et attentifs `a leur compagne, experts en amour, tous c'elibataires, blind'es d’argent et pr^ets `a se marier».
Les voil`a ravies, mais d'ecid'ement intrigu'ees, elles poursuivent jusqu’au cinqui`eme…
Quand elles arrivent au cinqui`eme, le panneau indique «Ici il n’y a pas d’hommes! Cet 'etage n’a 'et'e construit que pour d'emontrer qu’il est impossible de satisfaire une femme, elle visera toujours plus haut».
Le travail
Un fou 'ecrit une lettre.
Le directeur lui demande:
«A qui 'ecrivez-vous?
– A moi.
– Et qu’est-ce que vous avez mis?»
Le fou lui r'epond:
– Moi, lance un homme accoud'e au comptoir d’un bistrot [19] , j’ai tous mes ennuis derri`ere moi.
– Vous voulez dire que vous n’avez plus aucun ennui?
– Pas du tout! Mais je suis conducteur d’un bus scolaire.
Un P.D.G. [20] recoit dans son bureau un de ses employ'es.
19
accoud'e au comptoir d’un bistrot – облокотясь на барную стойку
20
P.D.G. (pr'esident directeur-g'en'eral) – генеральный президент-директор
– Jeune homme, vous ^etes entr'e dans cette soci'et'e il y a un an `a peine comme coursier. Deux mois plus tard vous 'etiez aide-magasinier, puis chef du service des stocks. Et aujourd’hui, vous voici directeur commercial pour tout le groupe. ^Etes-vous content de cette promotion?
Le jeune homme r'epond:
– Oh, oui, merci Papa!
Un m'ediocre 'ecrivain raconte:
– D'esormais, j’ai la satisfaction de savoir que ce que j’'ecris est lu avec infiniment d’attention.
– Vous faites toujours des romans?
– Non. Je r'edige les menus d’un grand restaurant.
Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier dit:
– Tu connais Victor Hugo?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Le lendemain, toujours le m^eme:
– Tu connais Albert Einstein?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Le surlendemain, ca recommence:
– Tu connais Karl Marx?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Alors l’autre tout 'enerv'e dit:
– Et toi, tu connais Jean Dupont?
– Non???
– T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir!
Le pr'esident d’un tribunal, apr`es avoir fait d'ecliner `a un pr'evenu ses nom, pr'enom, ^age et profession, ajoute:
– Vous avez donn'e un coup de pied dans le ventre de votre belle-m`ere, n’est-ce pas?
– Ce n’est pas de ma faute, monsieur le Pr'esident: elle s’est retourn'ee!
Le directeur d’une galerie de peinture t'el'ephone `a un artiste:
– L’exposition de tes oeuvres a attir'e l’attention de gens malhonn^etes. La galerie a 'et'e cambriol'ee, cette nuit.
– C’est la gloire! s’'ecrie le peintre.
– Euh…oui et non. Parce que je dois t’avouer qu’ils ont laiss'e tes tableaux en se contentant d’emporter ce qui a de la valeur: les cadres.